Pour les marchés internationaux
Certes, depuis sa livraison en janvier, le ponton à pelle rétro-excavatrice a déjà été réquisitionné sur le chantier de l’EPR de Flamanville pour faire sauter un bouchon de roches extrêmement dures qui obstruait un bassin. Puis en Seine pour effectuer des prélèvements dans le cadre de l’approfondissement du chenal programmé par le Grand Port maritime de Rouen (GPMR). Certes, il se rendra fin octobre à Calais pour aménager le terminal transmanche n° 7. Mais l’investissement consenti, de l’ordre de 9 millions d’euros, le prédestine aux marchés internationaux. « Nous sommes déjà présents en Afrique, Togo et Bénin, bientôt en Côte d’Ivoire et Angola. Mais pourquoi ne pas viser les grands travaux portuaires prévus en Afrique mais aussi Amérique du Sud ou en Asie ? », espère Rodolphe Benaddou.