En très bonne forme vocale et musicale, Robert Smith continue d’impressionner avec son répertoire hypnotique. Plus de 10 000 spectateurs bien élevés mais plus ravis que jamais ont accompagné son retour au Zénith avec The Cure le dimanche 13 novembre.
C’est une semaine après Sting une autre légende qui s’est installé au Zénith Dimanche soirée pour une soirée pleine d’émotions et de souvenirs : The Cure et son chef Robert Smith. Salle comble et même comble, comme 10 500 fans dévoués au groupe de Robert Smith ne l’a jamais arrêté hurlereuh le sien aimer – « Je t’aime aussi », a répondu le chanteur aux cheveux bouclés à un fan épris, ajoutant en guise d’excuse pour son modeste niveau de français que ces mots étaient internationaux). Mun monument des années 80 et 90, La médecine il n’a pas joué à Toulouse depuis 22 ans et nous l’avons sentiénorme attente elle ne pouvait pas être déçue – et elle ne l’était pas. Rarement aura-t-on vu un concert crescendo avec autant de puissance et de violence jusqu’à ce qu’il explose sur le deuxième rappel et son enchaînement imparable de tubes sans faille : « Lullaby », « Close to me », « In Between Days », « Friday I » I’ m in Love » et le diptyque « Just Like Heaven »/ »Boys Don’t Cry » en guise de dernier élan – OhJe connais des groupes qui tueraient pour écrire un seul titre de ce calibre. Le public, enchanté par ppremier tiers au concert – qui a commencé par le bruit d’une pluie battante (bienvenue à Crawley) – s’est terminé de manière folle et, si nous n’avons pas vu beaucoup de clones de Robert Smith, nous avons assisté à des pogo impressionnantsestampillé 1979 dans une fosse. Le facteur nostalgie a également impliqué les six musiciens ils ont reconsidérere consciencieusement toutes les époques de leur illustre catalogue (avec peut-être un peu trop d’importance accordée aux titres du très sombre « Pornography », depuis 1982), du post-punk tendu et lourd (« A Forest », « Cold ») à la pop la plus joyeuse du deuxième rappel. Porté par la basse monstrueuse de Simon Gallup, battant comme un sourd dans la poitrineLe curé a prononcé un Positionner sur près de trois heures. Les fans auront du grain à moudre avec rautre chose Nouveau titres (« Alone », « I can Never Say Goodbye », « And Nothing is Forever » et « Endsong »), quatre ballades poignantes OMS va certainement rlancer des discussions sur les forums de En ce qui concerne de le prochain album, « Chansons d’un monde perdu » – Le dernier album de The Cure date de 2008. Si la perfection n’était pas de ce monde, elle serait rarement si proche de nous Dimanche soir uniquement : la puissance du son, contresont des chansons qui ne sont étonnamment pas obsolètes, le charisme fou de Robert Smith et sa voix toujours aussi émouvante auraient tout balayé sur leur passage et nous sommes repartis vers minuit sonnant et heureux. N’attendons pas encore 22 ans pour se revoir.